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Conférence-débat avec Amélie Poinssot, journaliste à Médiapart, qui vient de publier un livre sur cette question chez Actes Sud.Qui va nous nourrir ? Au coeur de l’urgence écologique, le renouveau paysan Qui va nous nourrir demain ? Comment 225 000 exploitant-e-s agricoles vont-ils nourrir 67 millions de personnes ? Face à cet enjeu arrive une paysannerie savante, consciente d’elle-même, branchée sur les rapports du Giec, qui veut changer le monde agricole contre les tenants de l’extrême industrialisation de l’agro-alimentaire, encore largement dominants. Amélie Poinssot, journaliste à Mediapart, a mené l’enquête en France. Avec la librairie Fier de lettres.

Cette soirée s’inscrit dans le cycle des initiatives de la semaine internationale contre l’apartheid israélien (IAW) lancée par le BNC (Comité National Palestinien du BDS) et organisée par le Comité BDS France Montpellier

Projection d’un documentaire suivi d’un “conversatorio” sur la situation en Argentine avec des représentants locaux du collectif Argentina no se vende.

La Carmagnole organise un débat sur la politique des déchets à Montpellier et le projet CSR en discussion à la métropole

La soirée se déroulera en trois temps continu. A 19h, de la poésie avec Mots d’elles. A 20h , une performance de danse avec la compagnie Danza. On termine à 21h avec des chants andalous de Karawan 20h Olga _ Danse 21h Karima _ Musique arabo andalouse

Près de 7 ans après le mouvement Metoo, plus de 10 ans après les printemps arabes, où en est la situation des femmes autour de la Méditerranée ? Quels combats communs y sont menés ? Quelles différences y sont perceptibles ? Y a-t-il circulation transnationale des idées, des modes d’organisation, des moyens d’action ? Avec Caroline Brac de la Perrière, à l’origine du Fonds pour les femmes en Méditerranée qui soutient les associations de défense des droits des femmes dans les pays du pourtour méditerranéen. Caroline Sakina Brac de la Perrière, née à Alger en 1958, est historienne et psychologue. Très investie depuis des décennies dans la défense des droits des femmes dans la région méditerranéenne, elle a fondé en 2008 le Fonds pour les femmes en Méditerranée pour soutenir les associations de défense des droits des femmes dans les pays du pourtour méditerranéen.

Après le 29 février évidemment on continue ! Gardarem la Carmagnole à Figuerolles. Comme vous le savez, ce jeudi 29 février, notre bail prend fin. Le bail, oui, mais pas les activités de la Carmagnole !

Le 21 janvier dernier, le 100e anniversaire de la mort de Lénine suscitait…un flop commémoratif retentissant. Avec Marina Garrisi, on rompt le silence.

Autrefois qualifiée de “plus beau jardin de France”, la région grenobloise s’est métamorphosée en bastion de  l’industrie microélectronique, “la Silicon Valley Française”. Bientôt une vallée de la mort si, faisant fi des sécheresses, les usines STMicroelectronics et Soitec s’étendent encore pour consommer 25 000 m3 d’eau potable par jour. A l’heure de la sècheresse et des bassines contestées, voulons-nous continuer à voir notre eau dilapidée et polluée, pour que ces industries puissent renforcer la numérisation de nos vies et leurs gadgets militaires ? Retour sur la lutte du collectif STopMicro, qui appelle à se mettre en mouvement contre ce projet pharaonique soutenu par des milliards d’argent public  bénéficiant en priorité à l’industrie de l’armement et de la surveillance généralisée. La soirée sera animée par le collectif StopMicros et le collectif Technopolice qui mettront en lien les diverses problématiques en jeu sur le terrain.

Projection et concert pour célébrer le 30eme anniversaire de la création de la TV Serrana

A. Halimi évoquera la rupture de confiance entre les forces de l’ordre et le public et s’interrogera sur le caractère systémique des violences policières.

À travers cette affaire et la persécution judiciaire qui s’est abattue sur Julian Assange et ses collaborateurs et collaboratrices, l’autrice révèle le danger que font peser de très puissantes institutions comme le Pentagone, la CIA et la NSA – le “complexe militaro-industriel” des États-Unis – sur la démocratie : non seulement en dissimulant des crimes d’État particulièrement graves, mais aussi en exerçant une surveillance de masse au prétexte de lutter contre le terrorisme, par des méthodes dignes des pires régimes totalitaires. Elle pose donc en filigrane la question de la réalité de nos démocraties, et de la place du journalisme dans celles-ci, en soulignant le paradoxe de la situation : un journaliste s’est vu emprisonné et traité comme un terroriste et un criminel pour avoir dénoncé des crimes de guerre et des dérives du pouvoir tout aussi intolérables.

Explorons les futurs émancipateurs possibles avec le biologiste, syndicaliste militant et député Hendrik Davi.

Séance de théâtre-forum autour de la question : comment faire émerger la confiance entre les différents acteurs qui agissent et gravitent autour d’un tiers lieu ?