“Soleils d’or”, peut-on résister à la violence ?
Les actions contre les effets de la politique actuelle se multiplient : réforme des retraites, méga bassines, vie chère…Les modes d’action, traditionnellement grèves et manifestations, évoluent parfois et débouchent sur certaines formes de violence… Dans ce contexte, et depuis une vingtaine d’années, la question de l’efficacité des luttes, des possibilités d’amender ou de changer la société fait surface.
Et les jeunes sont au centre. Il remettent massivement en cause les partis politiques, s’abstiennent nombreux aux élections, mais portent pourtant des espoirs de changements.
Comment changer ? La violence est-elle une issue ?
Certains pensent que nier la société, vivre en marge, refuser son organisation et construire parallèlement une mini contre-société égalitaire pourrait être la solution.
Mais pour construire cette vie parallèle, il faut un minimum de moyens… Comment se les procurer ?
A partir de faits réels (l’affaire Florence Rey / Audry Maupin en 1994), Jean Kouchner raconte dans “Soleils d’or” la vie de jeunes lancés dans cette quête d’une autre organisation sociale, leurs motivations leurs espoirs… avec la quête d’un univers de pureté symbolisé par leur amour entier de la montagne, de son environnement naturel et de la plénitude qu’elle leur inspire.
Un roman on ne peut plus dans l’actualité !
Journaliste, consultant, professeur associé à l’Université de Montpellier-1, homme de radio depuis 1977, Jean Kouchner fut directeur du CFPJ de Montpellier de 1993 à 1999 et du CFPJ international. Il enseigne le journalisme et la radio dans de nombreux pays étrangers. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages touchant le monde du journalisme et de la Montagne. “Soleils d’or” est son premier roman.
Il sera à la Carmagnole ce mardi 18 avril.