Depuis plusieurs semaines, au Chili, malgré la répression, les rues ne désemplissent.
Le point de départ de la contestation fut l’augmentation des tickets de métro.
Milliardaire de droite, le président chilien lui a répondu en envoyant l’armée et en faisant tirer sur la foule.
Mais, au contraire de ses objectifs, les revendications se sont vite élargies à une dénonciation du libéralisme et les manifestants exigent aujourd’hui une nouvelle constitution.
Chile desperto” (“Chili s’est réveillé”) est un des mots d’ordre essentiels des manifestants.

La Carmagnole organise une soirée Chili le mardi 26 novembre avec les participations de Ricardo Parvex, vice président de l’Association des Ex-Prisonniers Politiques Chiliens et Eva Palominos, militante de Montpellier et membre de l’Association.
Le débat s’ouvrira aussi aux jeunes chiliens organisant aujourd’hui les mobilisations de solidarité à Montpellier.