Qu’y a t-il de commun entre la communication du patronat français, une milice à la solde de narco-trafiquants mexicains, des parachutistes dans la guerre d’Algérie, la guerre en Irak et Afghanistan, des opérations secrètes de la Seconde Guerre Mondiale, la féroce répression des dictatures sud-américaines des années 1970 et, entre autre, le maintien de l’ordre colonial français pendant un siècle ?..

Une stratégie aux contributions plurielles, étalée sur près de deux siècles, et qui prendra la nom de “Doctrine de Guerre Révolutionnaire” (DGR) durant la décolonisation.

C’est l’histoire de cette doctrine contre-insurrectionnelle que raconte Jérémy Rubenstein dans son excellent “Terreur et séduction” tout juste paru aux éditions La Découverte.
Il sera à la Carmagnole ce jeudi 10 novembre.